Prisonnière de son esprit

Jun habitait a Mystery depuis longtemps.Elle avait toujours êtait différente de la plupart des habitant.Mais jamais elle n'aurait penser que ses foutus habitant l'aurait fait envoyer a l'asile...
Elle avait peur,seul attaché au lit avec une camisole de force.Elle détestait être attachée,elle voulait sortir,mais elle ne pouvait pas.

En traversant la ville j' avait entendu des cris venant du batiment.Bizarrement je n'avait croisé personne.J'entendait une personne bougeait et j'entendait ses pensée.La porte de la chambre de cette personne était en fer et il y avait une serrure.J'ai pas la clé..
Bon aux grands mots les grands,moyen,ma main prit feu et ainsi je fît bruler la porte.Je pris soin d'éteindre ma main avant d'entrer,une fille aux cheveux argenté était attaché sur un lit.

*Un jeune homme, pâle comme la mort, regardait de loin la scène. Une demoiselle attachée, et un garçon qui venait sûrement la délivrer... Il esquissa un sourire moqueur. Ironie du sort, cette ville regorgeait de "contes de fée"... Assez macabres, toutefois. Il descendit de la poutre sur laquelle il était assis, et s'approcha silencieusement des deux jeunes gens. De là, derrière le dos du garçon aux cheveux d'or, il pouvait distinguer les moindres détails de la scène. Oh. Et puis, dans un conte de fées, il y avait toujours un méchant. Ou un sorcier qui aide le chevalier. Il avait bien envie de participer... Mais lequel des deux serait-il ?
Bon, il verrait sur place. Dans la chambre sombre se trouvait une petite chaise. Invisible, le garçon s'y assit discrètement. Maintenant, souhaite-leur la bienvenue, mon grand... D'une façon pas rassurante, si possible. Soudain, il apparut aux yeux de tous... Muni d'un sourire vraiment inquiétant.*

-Bonsoir..

J'observais les deux personne.Mes yeux noirs profond fixèrent le garçon aux cheveux couleur sapin.Le blond semblait bien trop gentil.Mon petit corps de poupée se débattit un instant et je réussis à m'asseoir.Je portais certe un jolie robe courte noire mais par dessus il y avait ma camisole de force..Ses humains avait eu peur que je me libère..
Je penchais ma tête de poupée sur le côté."Je les tuerais,l'un après l'autre....
"Bonsoir...."
La poupée que j'ètait avait une de ses voix rouillé qui fesait frémir les gens.

-Bonsoir...

*Le jeune homme posa son regard glacé sur la demoiselle. Elle avait... Elle n'avait pas l'air très... Normal. Il se retint de rire. Après tout, qui ici avait l'air normal ? Le petit blond, peut-être. On aurait dit un prince. Un gentil chevalier. Il ferma un instant les paupières, et se concentra sur l'aura des deux jeunes. Là.
Elle, elle avait l'air ... Pas vraiment malfaisante. Plutôt d'une cruauté enfantine. Inoffensive. Pas de danger de son côté, à moins qu'il ne se trompe vraiment.
Lui, c'était plus une aura de perdu. Un gamin qui se retrouverai dans une forêt. Ou devant un monstre auquel il ne croit pas. Pas de danger non plus.
Il attrapa dans sa poche une cigarette, et l'alluma. Son sourire s'élargit. Il tira une bouffée, et en savoura la saveur quelques instants. Quand il souffla, il se décida à répondre.*

-Que faites-vous ici, Mademoiselle ... ? Dans cette tenue ?

Elle rit.Mademoiselle ? mais que les gens était charmant!Pff!
"Sa ne se voie pas ? Je suis prisonnière.Ah et la camisole se sont Humains idiots!
Je me débattis encore.Je voulais pourvoir lui exploser sa face de...serpent!J'eu assez tant pis,le piège a assez durer!En un instant la camisole tomba,je sautait du li avec une agilité surprenante et jouais un instant avec les éclair qui s'enroulait autour de mes mains.Je les fis disparaitre et me concentrer sur les deux jeune homme.
"Qui êtes vous ? Toi le blondinet t'es qu'un humain.L'autre là je sais pas qui t'est.Et ce que tu es.Ah et pour info moi ses Jun.Jun Hakeko.

Je faisais la ronde , comme chaque soir , en entrant dans l'asile je vis , très près de moi , un jeune homme aux cheveux verts.
Un peu plus loi un autre jeune homme , blond , et une fille aux cheveux violets.
Je souffla simplement un :

Que faites-vous ?

Je savais que je n'avais pas l'air d'une démone forte. Mais les apparences sont trompeuses...

La nuit , mes yeux étaient transparents , mais la ils étaient plus que transparents...

"Oh moi je rendais visite a l'un de mes amis,mais en arrivant j'ai trouver cette chambre vite et la camisole au sol.J'en suis profondément attristé.
Je baissais les yeux,dans lequel on pouvait voir perler des larmes.
Mon corps tremblait comme si,je n'avais pas menti comme si c'était.Qui sait ? c'etait peut-être vrai ?Peut-être avais-je était pris au piège par la camisole ensorcelée ?

(PS:Mystery mes cheveux sont violets sombre! pas argentée...)

Je décidais de ne pas dire la vérité.
"J'ai entendu le cri de la demoiselle Jun.Alors je suis venu voir...

"Oui s'il vous plaît."
Je levais mes yeux noirs sur la fille.

-Sa ne se voie pas ? Je suis prisonnière.Ah et la camisole se sont Humains idiots! Qui êtes vous ? Toi le blondinet t'es qu'un humain.L'autre là je sais pas qui t'est.Et ce que tu es.Ah et pour info moi ses Jun.Jun Hakeko.
-Que faites-vous ?
-"Oh moi je rendais visite a l'un de mes amis,mais en arrivant j'ai trouver cette chambre vite et la camisole au sol.J'en suis profondément attristé.
-"J'ai entendu le cri de la demoiselle Jun.Alors je suis venu voir...
-Je n'aime pas les menteur... Mais t'es pas trop moche , alors je ne dirais rien. 'Jun' tu veux sortir ?
-"Oui s'il vous plaît."

*Avec l'arrivée de la fille, son plan de conte de fées venait de tomber lamentablement à l'eau. Daah. Il poussa un sifflement strident... Raté, encore une fois. Bien, maintenant, il se mis à réfléchir. Qui était cette fille ? Une sorte de "Cheftaine" ? Après tout, on aurait dit qu'elle faisait la loi... Il ferma un instant ses yeux froids. Voilà qui était mieux. Les lumières blafardes de la pièce lui donnaient mal à la tête. Peu à peu, il s'effaça, au point ne de ne plus être visible. Il se remit alors debout, marcha jusqu'à la porte, l'ouvrit en coup de vent, et murmura d'un ton glacial, en guise d'adieu ;*

- A bientôt...

*Puis il sortit. Et l'air de dehors lui fit du bien.*